Vassilis Spanoulis (entraîneur de Monaco, après la victoire lors du match 3 de la finale) : « On a fait un super travail sur TJ Shorts (20 points mais 6 sur 18 au tir). On sait qu'il va marquer des points, mais le voir avec ce pourcentage, tout comme Nadir Hifi (17 points, 5 sur 17 au tir), c'est ça qu'on veut. On a survécu et désormais, le momentum psychologique est de notre côté. Les mecs y croient encore. Dans le vestiaire, j'ai vu ce feu en train de renaître, celui qui nous avait quittés après la finale de l'Euroligue. On a trouvé la solution au mental, à l'énergie, la dureté, pour jouer avec urgence. »
Jaron Blossomgame (ailier-fort de Monaco, 26 points, son record) : « On a énormément d'expérience, on est doubles champions en titre pour une raison. Il y a beaucoup de fierté, beaucoup d'ego dans cette équipe et on est allés puiser très profond ce (vendredi) soir. On ne voulait pas que Paris célèbre son titre sur notre parquet. Ils ont pris l'avantage très vite, mais on a gardé notre sang-froid. (Sur son match) Je voulais aider l'équipe à gagner, mes coéquipiers m'ont soutenu (après les deux premiers matches) et j'ai tiré l'équipe dans le troisième quart-temps (17 points !). Ce sont les mêmes tirs que j'ai eus depuis le début de la finale, mais j'ai pris feu et mes coéquipiers m'ont fait confiance. »